Les données non structurées représentent plus de 80% des données dont nous disposons dans nos structures professionnelles (courriers, courriels, fichiers Word, Excel, PDF, JPG, PNG, AVI, MOV, CAD, MP3, etc.) . Contenues dans cet océan de fichiers informatiques et dans cette forêt de papiers, ce sont les données qu’il nous faut organiser, identifier, diffuser, protéger et traiter. En d’autres termes, elles représentent le « bazar » dont nous ne savons que faire.
Parmi ces données, il y a celles qui sont très utiles, celles qui sont très sensibles, celles que nous conservons pour le « cas où » et celles que nous préférons conserver parce que nous ne savons pas à qui elles servent. De même, il y a toutes celles que nous détruisons car nous ne savons tout simplement pas comment les classer. Pourtant on se rend compte après coup qu’il aurait été judicieux de les conserver.
La donnée non structurée pullule ! Elle se dissémine au plus profond des arborescences de nos serveurs, de nos disques durs, de nos clefs USB et de nos divers Cloud. Elle se cache parmi des milliers voire des millions d’autres données toutes aussi dédaigneuses à l’égard du peu de temps dont nous disposons pour la retrouver. Trop de volumétrie, trop d’arborescences, trop de supports de stockage sont la source de notre problématique organisationnelle !